Alex Davis

II. CARACTERE
( Minimun 6 lignes )
Alex est quelqu'un d'assez calme, réservé, qui n'aime pas trop faire parler de lui. Il est à l'écoute pour ses amis, et sais facilement trouver les mots qu'il faut pour les réconforter. Il a une assez grande imagination, ce qui lui permet d'être plutôt bon dans les matières artistiques. Il est très patient, et préfère écouter les autres plutôt que de se plaindre sur son propre sort, ses problèmes. Il fait très attention à son apparence tout de même, il est efféminé, et l'assume entièrement, et mais assez en avant ce trait de caractère qu'il considère comme un atout à ne pas négliger, bien que, dans sa jeunesse cela lui a value quelques problèmes, autant à l'école que dans sa famille...
Mais, il n'a pas que des qualités ! Il s'attache trop vite aux gens, et souvent il lui arrive d'en souffrir par la suite, il est très timide, a du mal à avouer ce qu'il pense ou ressent. Il est rêveur, mais trop rêveur. Il lui arrive souvent d'oublier des choses, à force d'être dans la lune, ce qui fait qu'il est aussi très maladroit, et il y a de nombreuse fois où il c'est retrouvé, ou a provoqué des situations quelques peu délicates. Il est aussi très sensible, bien qu'il le cache le plus possible, pour éviter quelques problèmes.

III. HISTOIRE
( Minimum 10 lignes )

" Arrêtes, s'il-te plait arrêtes Papa !, Hurle une voix tremblotante, une petite forme blottie contre le mur, dans le noir.
- La ferme sale t_pette ! M'appelle pas Papa, j'veux pas être le père d'un gosse comme ça ! "

Complètement pété. Oui, mon père est sous l'emprise d'un mélange d'alcool, de drogues, et je ne sais quoi encore. Encore une fois, il est là, lui mon bourreau. Cette personne qui a mit ma mère en cloque, cette personne qui est censé aimer son fils. Mais non, ça ne se passe pas comme ça chez moi. Oui, parce que du haut de mes douze ans, d'après mon père je suis rien qu'une sous m_rde, un P_, une T_pette, tout ce que vous voulez. Ça a commencé il y a 7 ans, oui, à 5 ans, j'ai commencer à me montrer effémine, non, je n'était pas le genre de garçon qui jouent au foot, au sports divers avec leurs amis, leurs pères... Non, j'étais plutôt du genre à jouer à la poupée, à m'occuper de mon apparence, à ne jouer qu'avec des petites filles. Mon père m'obligeait à me couper les cheveux au ras, alors que moi je voulais les garder longs. Alors quand je refusais, j'avais le droit à une claque. Rien de plus, à ce moment là. Ma mère, elle regardait en silence, sans rien dire, s'occupant plus de ma petite sœur de deux ans mon ainée que de moi. Le vilain petit canard, dont personne ne veux. Le pauvre petit garçon trop efféminé, sans force, et qui en plus pleure pour un rien.
A mes 8 ans, ma mère a quitté mon père. Hélas, j'ai été mis à la garde de mon père, ma mère me refusant catégoriquement. Lui, il a tourné dans l'alcool, la drogue. Moi je suis resté dans mon coin, essayant de positiver, d'oublier les souffrances que m'affligeaient mon père.
Et tout c'est passé si vite. à 11 ans, je suis tombé amoureux, rien de plus normal pour mon âge, ça n'était pas vraiment la rpemière fois que cela m'arrivait, mais cette fois, mes sentiments était pour un garçon. Je tenais un journal intime, où je parlais souvent de lui. De ses cheveux blonds retombant en batailles sur son visage, ses yeux bleus profond où je me plongeais dès que possible. Ses lèvre douce et roses qui me donnaient envie. Jusqu'alors, je n'était tombé amoureux que de filles, ce fut lui qui me fit comprendre ma bisexualité.

Mais bam, voilà, un jour, ce jour là, mon père est tombé sur le journal. Il l'a lue entièrement, les pages sur Lui. Voilà, c'était prouvé, j'étais bel et bien une t_pette, comme il disait. Il ne l'a pas supporter, alors il est venue me voir, dans ma chambre, complètement bourré, et a commencé à me frapper... Heureusement, alertés par mes cris, les voisins ont appeler la police, qui, sont arrivé plus tard, beaucoup plus tard, j'ai eu le temps de souffrir énormément autant physiquement que mentalement.
Puis j'ai été retiré de la garde de mon bourreau et placé dans une famille d'accueil. Je n'ai plus jamais revu le garçon que j'aimais, mais au fur et à mesure des années, j'ai eu des relations avec des garçons, mais aussi des filles, assumant ma bisexualité, n'étant plus sous la menace de mon père.


IV. VOUS